Quand le "no-kill" tourne au drame !
Les perches finissent dans la poêle ...
Une fois n'est pas coutume, perches meunières au menu |
Comme vous le savez, je suis un adepte du "no-kill", mais
je ne suis pas pour autant un "extrémiste" de la méthode, d'ailleurs, je
ne pêche pas toujours avec des hameçons sans ardillon, ce qui est très
révélateur.
Lors de notre dernière sortie en
barque, une des perches que nous avions capturé était blessée
mortellement et comme nous les déposons dans une grande épuisette, le long de la barque en attente afin de les libérer après
avoir méticuleusement "ratissé" la zone et surtout pour d'éviter
qu'elles ne mettent en alerte l'ensemble de leurs frangines, notre doute
se confirma.
Je décidais donc de la
conserver pour en faire un repas, mais une seule perche, c'est assez
maigre, cette misérable qui n'y était pour rien entraîna
donc dans le trépas trois de ses congénères toutes aussi innocentes.
Il
faut bien avouer que la perche cuite façon "meunière", ce n'est pas si
mauvais, et même si je n'ai pas l'intention de renouveler très souvent
cette expérience, je me suis quand même régalé.
À noter qu'il
suffit de tremper une minute dans l'eau bouillante les perches
pour ensuite enlever très facilement la peau avec les écailles, puis après un
rinçage en règle, les enduire de farine en les passant dans une assiette
pour les faire dorer à la poêle avant de mettre un zeste de citron et
voilà, facile et savoureux ...
Après un passage dans l'eau bouillante, on enlève la peau |
Puis passage à la farine de blé |
On passe à la poêle pour les dorer et voilà ... |
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